L’histoire entre la musique et les plantes commence, dit-on, dans les îles du Pacifique où les indigènes imitaient des chants d’oiseaux dans le but améliorer le rendement de leur plants. C’est en effet ce que nous confie l’ethnologue du nom de Malinowski en 1930. Au Japon, les paysans utilisaient des chants ancestraux pour stimuler la croissance de leurs rizières. Quelques agriculteurs chinois défendent le fait qu'aimer ses plants ("émettre des ondes positives") aiderait ceux-ci a bien se développer, tandis "qu'émettre de mauvaise ondes" handicaperait leur croissance.
Le physicien français Joël Sternheimer (professeur à l’Université Européenne de la Recherche) a réussi à mettre un lien entre la musiques et les plantes, en déposant un brevet en 1992 qu’il intitule « procédé de régulation épi génétique de la synthèse protéique ». Son hypothèse est alors que la musique peut en effet influencer le développement d’un être vivant en agissant au niveau moléculaire. Il ménera de nombreuses expériences pour appuyer son explication théorique.